©Marie Lagache
Toujours à l'occasion de notre semaine sur la mobilité, la rédaction du Magistère DJC a marché sur les pas de La Marseillaise des Femmes ce dimanche 17 octobre. 

Pas de repos pour les braves. Ce dimanche 17 octobre se déroulait la onzième édition de La Marseillaise des Femmes. Cette course engagée et solidaire a fait son grand retour dans la cité phocéenne après un arrêt en raison de la pandémie de Covid-19. Les 8 000 participantes, selon la ville de Marseille, ont parcouru un peu plus de 5 kilomètres au départ des plages du Prado.

La solidarité à la marseillaise

Cet événement se déroule en soutien à la recherche contre les cancers féminins et pour les droits des femmes dans le monde. L’association marseillaise Complètement Fadades, qui propose du coaching aux malades du cancer, était aussi à l’honneur pour cette édition 2021. Au départ de la course, la bonne humeur règne entre les participantes. Un esprit de sororité se dégage. Certaines se lancent sur le parcours avec un déguisement, d’autres le font en marchant, mais toutes les coureuses viennent participer à l’événement avec le sourire et une énergie débordante.

©Marie Lagache

Habituées et petites nouvelles se mélangent pour cette onzième édition. Quand la rédaction les interroge sur leurs motivations pour participer à La Marseillaise des Femmes chacune à sa réponse. « Je connais pas mal de femmes qui ont eu un cancer du sein, donc c’est une course au profit de la bonne cause », explique Laura. Une de ses amies, Yasmine, affirme quant à elle que c’est « pour la liberté et les droits des femmes ».

Marie-Clara met tout le groupe d’accord en clamant « pour s’amuser aussi ». Car si les causes défendues restent importantes, cette course apparaît comme un véritable moment pour se retrouver. Sandra et Odile participent à l’évènement pour « la solidarité, la bonne humeur, et l’entraide ». Cette onzième édition de La Marseillaise des Femmes n’a pas dérogé à la règle. Si la course se terminait par une remise des prix à 11 heures, le dimanche sportif se prolongeait sur la corniche.

Marie Lagache