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Clap de fin pour le week-end d’intégration du Magistère Droit, Journalisme et Communication. Les 14 et 15 octobre, 25 étudiants de la formation se sont retrouvés à Eguilles, pour un week-end placé sous le signe de la cohésion. Mais derrière la joie véhiculée par l’ensemble des participants, un long travail de préparation a été nécessaire. Entre délais à respecter et financement à gérer, retour sur les préparatifs de cet heureux événement.
Les mines sont réjouies, bien qu’un peu fatiguées. Midi sonne à l’horloge, quand les derniers participants quittent les lieux. Il ne reste plus que les organisatrices, occupées à vérifier chaque recoin de la maison avant l’état des lieux. Moment redouté… « Cela n’a pas été un week-end de tout repos, on a dû tout gérer », témoigne Apolline, trésorière de l’association. Il faut dire que depuis la rentrée, cet événement est au cœur des discussions des membres du Bureau Des Etudiants. Si l’idée était bien intégrée depuis mai dernier, tout s’est rapidement accéléré en septembre. « Le plus compliqué a été de trouver un propriétaire acceptant de nous héberger », confie Colombe, co-présidente aux cotés de Marie. Trouver une location : le plus gros du travail. « Les week-ends d’intégration ont mauvaise presse, ça fait peur de prêter sa maison à de jeunes adultes », constatent tristement les deux étudiantes. Après de fastidieuses recherches, la perle rare a été dénichée, dans un village tranquille non-loin d’Aix-en-Provence « pour que tout le monde puisse y accéder facilement ».
Avant l’officialisation de l’événement, un autre point – et pas des moindres – restait à régler : le prix. Location, intendance, transport et activités… La facture grimpe vite. Les discussions ont parfois été vives au sein de l’équipe. « Il a fallu trouver un juste milieu pour avoir assez de finances, sans que ce soit trop cher pour les participants ». En effet, en période d’inflation, les étudiants grincent des dents, et chaque dépense peut devenir un gouffre financier. Cet enjeu, les étudiantes l’ont compris : après une réunion avec le directeur de formation, des subventions ont été trouvées pour combler le déficit financier. « Finalement, le montant a été fixé à 75€ tout compris, pour que cela reste attractif », se satisfait Colombe.
De nouveaux projets déjà bien discutés
Au programme du week-end : olympiades et franche rigolade. Les étudiants déconnectent (presque) tous après un début d’année bien mouvementé. Mais pas de repos pour les membres du BDE : parrainages, soirées inter-magistères et moments festifs…. Tous les événements sont bons à organiser pour initier un esprit de solidarité. Alors, entre deux matchs de tennis de table, les organisatrices discutent déjà d’une nouvelle idée : celle d’un week-end au ski. « On a déjà réalisé plusieurs devis pour avoir une idée de l’organisation », s’enthousiasme Apolline. La trésorière est cependant consciente du travail à prévoir « ça va nous demander beaucoup de préparation en amont ». Mais pas de panique : après le défi de l’intégration relevé, rien ne pourra arrêter cette équipe motivée.
Hortense Stock
