Quel est votre parcours professionnel ?
J’ai un parcours assez unique… Depuis l’obtention de mon diplôme de Babson College (business school aux USA), j’ai changé de carrière six fois. J’ai commencé dans la finance, puis quelques années plus tard, j’ai déménagé en Californie pour monter une franchise de jacuzzis avec un ami d’enfance. Je me suis ensuite dirigé vers le secteur de la banque, avant de redéménager en France en 2007. C’est à ce moment-là que j’ai commencé à travailler dans le web marketing, plus particulièrement le search marketing. De 2014 à 2018, je me suis beaucoup intéressé à différentes technologies, notamment la data. Enfin, ma carrière s’est orientée vers le professorat en université, lorsque je me suis installé à Aix-en-Provence.
Comment avez-vous découvert le MDJC ?
En discutant avec Monsieur Charbonnier. Il m’a parlé de la formation et mon intérêt a tout de suite été piqué.
Quelle est votre perception de l’enseignement ?
Lorsque j’étais étudiant, l’élément qui me semblait le plus important était le partage et l’échange avec mes professeurs. Depuis que je suis passé de l’autre côté de la barrière, si je puis dire, j’essaye de créer ce même lien, afin de retirer un enseignement mutuel.
Trois conseils pour réussir au MDJC…
1. Suivez les sujets qui vous passionnent.
2. Travaillez sur des projets en groupe pour apprendre à collaborer avec les autres.
3. Ne vous inquiétez pas pour l’avenir : j’ai changé de carrière 6 fois depuis l’Université et je suis bien plus heureux aujourd’hui qu’il y a 5 ans.
Quel parcours auriez-vous eu si vous aviez commencé vos études à la rentrée 2021 ?
Aucune idée, mais probablement quelque chose dans l’informatique. Lorsque j’étais étudiant en 1997, ce domaine n’existait pas vraiment.
Quel est le (petit) plus du Magistère ?
Je ne connais pas tous les autres professeurs de la formation, mais je dirais la richesse liée aux différents profils d’enseignants. Nous avons tous des parcours singuliers, ce qui rend la transmission de savoirs assez unique.
Par Fanny Bonfils