« Nous étions les tenants du titre en foot mais, cette année, le niveau est monté d’un cran : les équipes sont mieux préparées, et on avait cette position de favoris à défendre. Du coup, on s’est mis un peu la pression alors que lors de l’édition précédente, nous étions plus détendus. »
« La force de notre équipe, c’est sa motivation. Je croyais en nos chances et on a montré de belles choses. Pourtant nous n’avons pas eu beaucoup de chance : Arthur a fait un tournoi de malade et il s’est pris un but casquette. Ça s’est donc joué à des détails. »
Elie Davy, Julien Philipakis et Azir Said Mohamed Cheik