Le Magistère Journalisme et Communication des Organisations ouvre sa campagne de collecte de la taxe d’apprentissage 2016.
Cette taxe a pour objet de financer les formations à caractère professionnel dispensées en France. Il s’agit d’une taxe obligatoire dont doivent s’acquitter au début de chaque année toutes les entreprises françaises employant des salariés et ayant une activité commerciale, industrielle ou agricole. Mais contrairement aux autres taxes, les entreprises ont ici la possibilité de choisir l’établissement vers lequel elles souhaitent que leur taxe soit dirigée.Parce que la destination de cette taxe peut-faire l’objet d’un choix personnel, parlez de notre campagne partout autour de vous. Vos parents et amis peuvent être concernés par cet impôt. Les sommes ainsi collectées permettront de financer des caméras, des micros, …, des bancs de montage et autres logiciels utiles à votre enseignement. Et pour éviter toute complication administrative, vous trouverez sur ce lien un formulaire de versement de la taxe qui vous indiquera la procédure à suivre.
Pour toute information complémentaire, merci de contacter Cathy Préaux à l’adresse suivante : catherine.preaux@univ-
amu.fr »
Pourquoi être venue au magistère?
Par amitié pour Jean-Yves Naudet, car j’ai travaillé très longtemps avec lui. Notre collaboration s’était très bien passée et j’étais à la recherche d’un emploi lorsqu’il m’a contactée. Je connaissais également Dominique Augey et était également très heureuse de travailler avec elle. Par contre je ne connaissais pas Gil Charbonnier.
Quel premier bilan pouvez-vous tirer de cette expérience?
Je suis très agréablement surprise par l’état d’esprit qui règne au magistère, la dynamique des étudiants. Ils sont très impliqués, parviennent à se mobiliser comme le feraient de véritables professionnels. C’est la spécificité de cette formation.
Quelles sont vos ambitions futures, vos perspectives ?
Initialement, j’étais là pour deux mois pour remplacer Françoise Verne, dont on appris la mutation tardivement. Puis j’ai finalement été reconduite jusqu’en août 2016 donc la pérennité de mon poste n’est pas encore pleinement assurée.
Je pense qu’un poste comme le mien pourrait être valorisé en lien avec certaines choses que les étudiants pourraient développer (plus de finances, de notoriété…). Peut être que je pourrais contribuer à cela en leur donnant un coup de main.
Robin Gabaston