Quel a été ton parcours avant d’intégrer le Magistère DJC ? 

Avant d’intégrer le Magistère j’ai fait deux années de prépa littéraire B/L à Lyon. C’est une formation très complète qui m’a permis d’apprendre à connaître aussi bien la littérature que l’histoire et les enjeux contemporains. Mais après deux ans j’avais envie de faire quelque chose de moins théorique, de plus pratique. 

Pourquoi avoir rejoint le magistère DJC ? Quelles étaient tes motivations ? 

Si j’ai rejoint le Magistère c’est d’abord parce que j’avais envie d’une formation qui soit plus professionnalisante. J’ai toujours été intéressé par le monde de la communication. Le DJC s’est donc imposé pour moi. De plus, je suis passionné par les lettres et l’écriture, je me suis donc dis que cette formation me permettrait de découvrir le journalisme, une discipline qui me passionne de plus en plus à mesure que je l’étudie. Enfin, le droit a aussi joué un rôle important dans ma décision. Les cours de droit sont en effets plus théoriques ce qui me plait bien. En sortant de prépa j’avais l’impression de maîtriser déjà un certain nombre de domaines mais je ne connaissais rien au droit, désormais j’ai la sensation d’avoir un profil bien plus complet.  

Quel métier voudrais-tu exercer plus tard ? 

Plus tard j’aimerais travailler dans le domaine de la communication des institutions ou  politique. J’ai toujours été très attiré par le monde politique. Les cours de communication en la matière m’ont d’ailleurs renforcé dans ce projet, je compte approfondir mes connaissances en faisant divers stages dans ce domaine pour pouvoir aussi me faire des contacts.

Comment les cours à distance se passent-ils ? 

 Il est évident que j’aurais préféré pouvoir effectuer l’ensemble de cette année en « présentiel ». Mais par chance tous nos professeurs ont réussi à s’adapter à la visioconférence et ils ont continué à nous proposer des cours complets et de qualité. Pour les enseignements que nous ne pouvions absolument pas faire à distance nous avons pu, par dérogation, nous répartir par demi-groupes. Au final nous avons réussi à faire tout ce que nous aurions fait en temps normal et je n’ai pas l’impression d’avoir perdu sur le plan des connaissances.