Nom : Anthony Jammot
Âge : 33 ans
Promotion : 2003-2006
Métier actuel :
– Chef de la rédaction web – LaProvence.com depuis juin 2017 à Marseille
– Chargé d’enseignement en journalisme web depuis septembre 2008 / directeur des études du Magistère JCO
Quelle profession exercez-vous aujourd’hui et quel a été votre parcours professionnel ?
Après le magistère JCO, j’ai effectué des stages, notamment à l’AFP pendant deux mois. Puis comme rédacteur-assistant de production pour « Thé ou Café » à France Télévision. Ensuite j’ai eu l’opportunité à La Provence d’être journaliste web. Depuis janvier 2014, je suis également responsable éditorial adjoint dans cette même rédaction. Je suis par ailleurs professeur en journalisme web au Magistère JCO dont je suis aussi le directeur des études.
Pourquoi aviez-vous choisi le Magistère JCO ?
Je suis d’abord passé par l’université avec deux années de licence en économie. En parallèle du Magistère, j’ai poursuivi mon cursus universitaire économique (L3, M1) puis effectué une année (M2) à Sciences po Aix. J’ai toujours voulu être journaliste et j’ai entendu parler de cette formation lors d’une conférence en L1 sur les formations professionnalisantes. Elle correspondait parfaitement à mon projet professionnel. Par ailleurs je trouvais intéressant de pouvoir continuer mes études en économie tout en commençant un apprentissage plus poussé du métier de journaliste.
Que vous a apporté cette formation ? Et quel est le meilleur souvenir que vous gardez du Magistère ?
C’est une formation professionnalisante dans laquelle on côtoie de nombreux professionnels, du journalisme et de la communication notamment, impliqués dans leur métier. Cela permet d’acquérir une véritable rigueur professionnelle. Nous sommes, de plus, mis dans le bain du monde du travail dès la 1ère année par le biais des missions Synergie et des stages de fin d’année qui permettent à la fois de mieux appréhender le milieu professionnel et de trancher entre journalisme et communication. De manière générale, j’étais quelqu’un de très timide avant d’entrer au Magistère. La formation m’a permis de véritablement progresser sur ce point et de me « révéler ». Par ailleurs je garde un excellent souvenir des missions Synergie de 1ère et 2ème années notamment celle du MHIGE : c’était une mission humanitaire. Il fallait organiser des projets en Biélorussie puis en Ukraine avec une centaine d’étudiants venant de différentes écoles françaises. J’ai été impliqué en tant qu’organisateur mais aussi en tant que participant dans ces missions. Cela a été une sorte de déclic, j’ai gagné en maturité et surtout acquis la volonté de réellement réussir dans ce métier.
Maxence GEVIN