Cette semaine, nous allons à la rencontre de la mission synergie « ONISEP ». Victoire (2e année), Lorry et Alexandre (1e année) y endossent le rôle de « consultants ». Leur objectif, soutenu par Odile et Guillaume, deux des responsables de la communication de l’organisation, est de refaire le plan de communication des JFB (Journées du Futur Bachelier). Ces dernières auront lieu au mois de mars.
De nombreuses tâches sont confiés aux trois étudiants du Magistère : « On a créé une maquette pour un site internet qui va être mis en ligne, on donne notre avis sur la création d’une plaquette qui va être distribuées aux lycéens, on a également donné des idées pour l’évènement, notamment la création d’un jeu concours. » explique Lorry. Les élèves chargés de cette mission aident également l’organisation à lancer une page Facebook. Ils y ajoutent des contenus et astuces et organisent des tchats d’après événements.
A noter que cette mission n’est pas si inconnue que ça pour certaines : « Lorry et moi ayant participé aux journées du futur bachelier il y à quelques années à Aix-en-Provence et à Avignon, nous avons pu leur faire des retours sur l’image que nous avions gardé de l’événement », relate Victoire.
La tâche est loin d’être simple, mais elle semble satisfaire Alexandre : « Je trouve que nos responsables jouent le jeu et comme nous le jouons nous aussi, nous sommes en symbiose. C’est vraiment une mission intéressante car elle nous permet de toucher à tous les pans de la communication et ils nous laissent vraiment nous exprimer. »
Concernant la cohésion de groupe, aucuns soucis à se faire. Malgré les appréhensions de Victoire, ses craintes se sont vite révélées infondées : « Nous avons tous les trois des caractères affirmés mais qui s’accordent bien. Le gros avantage de notre groupe est notre mixité. Aucun de nous n’a suivi la même formation, ainsi nous nous complétons et arrivons à apprendre les uns des autres. » Lorry et Alexandre n’ont en effet aucune expérience en matière de communication. Cela aurait pu être handicapant pour la deuxième année, mais il n’en est rien : « Je suis très satisfaite du travail que nous avons fourni et nos responsables de mission synergie semblent l’être aussi. » Pour Lorry et Alexandre, cette mission « permet de chercher de nouvelles techniques de communication » mais aussi « chercher à aller toujours plus loin».
En clair, travailler pour ONISEP, c’est avant toute chose avoir une cohésion de groupe : « Quand les personnes de l’équipe ne sont pas très réceptives à nos projets, nous essayons de trouver un compromis tous ensemble pour ne pas jeter de bonnes idées directement à la poubelle », confie Lorry. « Il est important de réussir à vendre le projet que l’on présente à son interlocuteur », poursuit Victoire. Pour elle, une chose est sure, la mission a encore de beaux jours devant elle : « L’ONISEP est une organisation connue, c’est intéressant de voir comment cela s’organise à l’intérieur. »
Manon BADARD